Moustiques : pourquoi certaines personnes les attirent plus que d’autres ? (Vidéo)

moustique posé sur une peau
Moustiques : pourquoi certaines personnes les attirent plus que d’autres ?
Par Cécilia Ouibrahim publié le
Journaliste
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Vous êtes toujours dans la ligne de mire des moustiques ? Si les “peaux à moustiques” n’existent pas, certaines personnes les attirent pourtant plus que d’autres. Explications.

Véritables fléaux de l’été, les moustiques en agacent plus d’un. Alors que tout le monde peut être la proie des piqûres de moustiques, certains facteurs peuvent cependant les orienter dans le choix de leurs prochaines cibles.

Le souffle

Le premier élément qui oriente les moustiques : le souffle. Plus une personne rejette du Co2, plus elle est exposée aux piqûres de moustiques qui peuvent le détecter à une cinquantaine de mètres. Personnes âgées, en surpoids et femmes enceintes produisent le plus de Co2 et sont donc les plus exposées à ces diptères.

Le groupe sanguin

Pour pondre leurs oeufs et faire le plein de protéines, les moustiques se nourrissent de sang mais pas n’importe lequel. Près de 85 % des individus sécrètent des signaux qui révèlent leur groupe sanguin. Les moustiques font donc la fine bouche et seraient deux fois plus attirés par les groupes sanguins de type O que ceux de type A. C’est également le cas du moustique tigre selon une étude japonaise réalisée en 2004.

Odeurs et chaleurs corporelles

Les odeurs, comme celle de la transpiration, jouent également un rôle déterminant dans le choix des moustiques. Autre facteur attractif produit par le corps humain : la chaleur corporelle qu’ils arrivent à détecter à moins d’un mètre. 

Le groupe sanguin

Pour pondre leurs oeufs et faire le plein de protéines, les moustiques se nourrissent de sang mais pas n’importe lequel. Près de 85 % des individus sécrètent des signaux qui révèlent leur groupe sanguin. Les moustiques font donc la fine bouche et seraient deux fois plus attirés par les groupes sanguins de type O que ceux de type A. C’est également le cas du moustique tigre selon une étude japonaise réalisée en 2004.


 

 

 

 

 

 

 

 

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