Jérôme Raingeard : l’aviculture bio et française, une passion de père en fils !

Le Picoreur
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Par La rédaction publié le

Tout comme son père, Jérôme Raingeard a décidé de devenir éleveur de volailles bio pour Le Picoreur. Engagé dans une agriculture respectueuse de l’environnement et du bien-être animal, il cultive également sur ses terres des céréales ou d’autres végétaux Bio qui par la suite pourront nourrir ses volailles.

Il y a des passions qui se transmettent de père en fils. Jérôme Raingeard peut en témoigner. Son enfance a été bercée par le métier de son père, aviculteur bio. C’est dans ses pas qu’il a appris à aimer la nature et les animaux. Et d’aussi loin qu’il se souvienne, il a toujours rêvé de devenir éleveur de volailles... bio. Une précision qui a toute son importance aux yeux du jeune homme. « L’agriculture bio est une pratique agricole qui permet de respecter l’environnement et son écosystème. Pour moi, elle permet de favoriser au mieux la biodiversité dont ont besoin nos campagnes », estime-t-il.
C’est donc tout naturellement qu’en 2017, après ses études, il décide de suivre l’exemple de son père, aviculteur depuis plus de vingt ans pour Le Picoreur. Il s’installe donc et commence à son tour son partenariat avec cette marque engagée. « Pour moi, c’était comme une évidence de m’orienter vers cette production vertueuse sur l’environnement, le bien-être animal, et la qualité des produits vendus aux consommateurs », ajoute Jérôme.

Des volailles bien élevées dans une ferme 100 % Bio !

Mais son activité ne s’arrête pas à l’élevage de volailles. Pour élever ses volailles dans les meilleures conditions possibles dans sa ferme 100 % Bio, Jérôme cultive également des céréales et d’autres cultures Bio en veillant à la conservation des sols. Le principe ? Limiter au maximum le travail mécanique de la terre en utilisant des couverts végétaux et en laissant œuvrer les vers de terre. La vie microbiologique de ses sols se développe et améliore la qualité des céréales produites.

Des volailles nourries à l’alimentation bio et 100 % française !

L’une des particularités des volailles Le Picoreur c’est d’être nourries avec des céréales et végétaux biologiques cultivés exclusivement en France. Un point essentiel pour l’éleveur. « Personnellement, je consomme bio, local et français, donc je trouve ça logique que mes volailles soient nourries dans la même démarche. En travaillant localement, nous diminuons considérablement les émissions de gaz à effet de serre et améliorons le bilan carbone », confie-t-il. En effet, en nourrissant ses volailles avec des céréales et végétaux bio cultivés uniquement en France, Bodin (filière dont dépend Le Picoreur) réduit significativement son impact sur l’environnement avec une diminution de 15 % d’émissions de CO2, soit 10 000 tonnes par an.

Une démarche durable

Cette démarche d’approvisionnement 100 % français pour l’alimentation des volailles est aussi bénéfique pour l’agriculture Bio en France : elle contribue au développement des surfaces cultivées en bio dans l’Hexagone, à leur variété (tournesol, lupin, luzerne), et à préserver la biodiversité de nos campagnes tout en permettant aux éleveurs du Picoreur de poursuivre et sécuriser leur activité. « Et pour vos lecteurs qui achèteront un poulet Le Picoreur, c’est à la fois la garantie d’une meilleure traçabilité et celle de soutenir les agriculteurs bio français ! », conclut Jérôme Raingeard.

Des volailles nourries à l’alimentation bio et 100 % française !

L’une des particularités des volailles Le Picoreur c’est d’être nourries avec des céréales et végétaux biologiques cultivés exclusivement en France. Un point essentiel pour l’éleveur. « Personnellement, je consomme bio, local et français, donc je trouve ça logique que mes volailles soient nourries dans la même démarche. En travaillant localement, nous diminuons considérablement les émissions de gaz à effet de serre et améliorons le bilan carbone », confie-t-il. En effet, en nourrissant ses volailles avec des céréales et végétaux bio cultivés uniquement en France, Bodin (filière dont dépend Le Picoreur) réduit significativement son impact sur l’environnement avec une diminution de 15 % d’émissions de CO2, soit 10 000 tonnes par an.