Qu’est-ce que le syndrome du téton triste ?
Son nom vous fait sourire ? Et pourtant, le syndrome du téton triste semble plus que jamais être une réalité pour de nombreuses personnes. Mis en lumière grâce aux réseaux sociaux, il n’existe pas encore de données scientifiques à son sujet, mais le lien entre les tétons et les émotions semble plus que jamais vérifiable. Petit tour d’horizon de la question !
Le syndrome du téton triste, qu’est-ce que c’est ?
Concrètement, le syndrome du téton triste (ou sad nipple syndrome en anglais) s’apparente à l’observation d’un phénomène de plus en plus partagé. Il s'agirait un mélange d’émotions plus ou moins négatives ressenties lorsque les tétons sont stimulés. Qu’il s’agisse d’un titillement volontaire, ou même de l’effleurement d’un t-shirt, le frottement du téton provoquerait ainsi de la nostalgie, de l'irritabilité, ou encore de l'anxiété, le temps de quelques secondes.
Un syndrome peu partagé jusque-là, qui semble toutefois s’inscrire dans une réalité, chez les femmes comme chez les hommes.
D’où vient le syndrome du téton triste ?
Un syndrome peu partagé jusque-là, qui semble toutefois s’inscrire dans une réalité, chez les femmes comme chez les hommes.
À l’heure actuelle, quelques théories fleurissent sur la stimulation du téton, à commencer par la réaction hormonale (notamment à travers la dopamine qui chuterait lorsque le téton est stimulé). On pourrait également rapprocher cette réaction à l'allaitement pour les femmes.
Le syndrome du téton triste touchant vraisemblablement les hommes comme les femmes, les recherches en restent encore au stade embryonnaire.
Comment lutter contre le syndrome du téton triste ?
Si ressentir un spleen — même de courte durée — n’est jamais très agréable, on pourrait avoir envie de mettre toutes les chances de son côté pour lui faire barrière. Toutefois, aujourd’hui, à la lumière du peu de données scientifiques dont on dispose, il n’existe pas encore de remède miracle. L’idéal reste de consulter un spécialiste, mais aussi de savoir s’écouter.
Bon nombre de personnes qui souffrent de ce sad nipple syndrome ont peut-être pu penser qu’elles n’étaient pas normales, alors même que ce dernier semble partagé par une vraie communauté. Et si les réseaux sociaux ont pu contribuer à mettre ce syndrome sur le devant de scène, aujourd'hui, la communauté scientifique s’y penche de façon progressive, afin de faire toute la lumière sur cette question.
