Développement personnel : comment trouver les vêtements qui nous font rayonner ?
Pourquoi les anges s’habillent en blanc ? Tel est le titre, teinté d’une apparente naïveté, du dernier spectacle de Youmna Tarazi qui se tient à Paris. Entre atelier de développement personnel et analyse sans filtre de la société de consommation, la spécialiste de l’image livre les clés vestimentaires pour révéler son identité et se sentir bien dans ses baskets.
Accomplissement, rayonnement et bien-être
Dans son spectacle Pourquoi les anges s'habillent en blanc, Youmna Tarazi concilie son amour du théâtre et ses talents de conseillère en image et cohérence identitaire. Elle passe en revue le rapport de la femme au vêtement, et ce que cela dit d’elle. En octobre dernier, Corinne, maman active de deux garçons, a assisté à ce spectacle empreint de poésie et le raconte pour Bio à la Une. Récit.
« Pourquoi les anges s’habillent en blanc ? » Sur cette simple question repose le spectacle de Youmna Tarazi, dont l’histoire que toutes les femmes connaissent, consiste à chercher désespérément LA petite robe qui va la rendre belle. Une histoire commune à la gente féminine qui, sous l’influence des magazines, des vendeuses, des soldes… remplissent à l’excès leur armoire de vêtements qu’elles ne porteront jamais. Au final, ce spectable permet à chacun d'avancer dans sa quête de la « vraie couleur » : celle qui laissera rayonner sa personnalité.
Un questionnement sur la frénésie de consommation
Dans son spectacle Pourquoi les anges s'habillent en blanc, Youmna Tarazi concilie son amour du théâtre et ses talents de conseillère en image et cohérence identitaire. Elle passe en revue le rapport de la femme au vêtement, et ce que cela dit d’elle. En octobre dernier, Corinne, maman active de deux garçons, a assisté à ce spectacle empreint de poésie et le raconte pour Bio à la Une. Récit.
« Pourquoi les anges s’habillent en blanc ? » Sur cette simple question repose le spectacle de Youmna Tarazi, dont l’histoire que toutes les femmes connaissent, consiste à chercher désespérément LA petite robe qui va la rendre belle. Une histoire commune à la gente féminine qui, sous l’influence des magazines, des vendeuses, des soldes… remplissent à l’excès leur armoire de vêtements qu’elles ne porteront jamais. Au final, ce spectable permet à chacun d'avancer dans sa quête de la « vraie couleur » : celle qui laissera rayonner sa personnalité.
- « Je peux le porter si je mincis »
- « Ça me servira pour un bal masqué »
- « Cette couleur me va si je la casse avec une autre »
- « Je ne me sens pas moi-même, mais c’est bien de changer de look »
- « Je ne me sens pas moi-même, mais c’est bien pour un entretien d’embauche ou pour travailler »
- « Je ne le mets pas, mais ça me rappelle de bons souvenirs (ou de mauvais d’ailleurs !) »
- « Je ne l’aime pas mais c’est un cadeau »
- « Je ne l’ai pas porté depuis un an, voire deux. »
- « Quand je porte ce vêtement j'ai hâte de renter pour le retirer. »
- « Je ne suis pas confortable dans ce jean mais ça me rend tellement sexy d’être serrée dedans »
Et si la plupart d’entre nous se reconnaissent dans ces pensées, le constat final est sans appel : on ne les porte jamais !
Une réflexion sur la mode
Youmna nous invite alors à pousser la réflexion un peu plus loin. À se demander par exemple pourquoi les mannequins en boutique sur lesquels nous repérons les pièces qui nous font tant envie n’ont ni yeux, ni cheveux, ni peau ? Ces mannequins censés nous représenter dans nos futures tenues correspondent-ils vraiment à la réalité, à NOTRE réalité ?
Notre couleur de peau le « Nude » (prononcer à l’anglaise “nioude”) est le révélateur. C’est elle notre vraie couleur et nos vêtements sont les accessoires qui doivent faire ressortir notre lumière intérieure. Autant de conseils que Youmna prodigue lors de ses ateliers de développement personnel.
« En portant les vêtements qui me vont, j’ai autorisé aux énergies fondamentales qui me constituent de circuler.» Youmna Tarazi
Pour en savoir plus : https://www.youmnatarazi.com/
Prochaines dates de représentation à venir.