Ce milliardaire américain consacre la quasi-totalité de sa fortune à l’écologie
Les dons colossaux des milliardaires pour la préservation de l’environnement sont encore rares. Mais quelques richissimes financiers et entrepreneurs font exception, et s’engagent pour cette cause, à l’instar de Jeremy Grantham, légende de Wall Street, qui a décidé d’accorder 98 % de sa fortune à la sauvegarde de l’environnement.
Après l’incendie ayant ravagé une partie de Notre-Dame de Paris, plusieurs grosses fortunes se sont empressées de faire des dons. Une réactivité qui a fait grincer des dents une partie du grand public, des associations ou des personnalités, déplorant qu’un tel élan de solidarité n’était pas déployé pour d’autres causes. Greta Thunberg, la jeune militante écolo avait d’ailleurs comparé, avec émotion, au Parlement européen, la situation de la cathédrale à l’urgence climatique. "Notre-Dame sera reconstruite et la planète ?", avait-elle interrogé.
Si elles se font plus rares, quelques grosses fortunes font exception, et s’impliquent dans la préservation de l’environnement, à l’instar de Jeremy Grantham. La légende de Wall Street et fondateur de Grantham Mayo Van Otterloo (GMO), a indiqué dans les colonnes des Echos qu’il allait accorder 98 % de sa fortune à la sauvegarde de l'environnement.
Des billets verts pour sauver la planète bleue
Prenant à cœur le sujet de la crise climatique et persuadé de son irréversibilité si elle n’est pas prise à temps, celui qui est habituellement connu pour anticiper les crises financières, va donc consacrer près d’1 milliard de dollars au climat. "C'est impressionnant de voir à quel point les gens ne sont pas effrayés par les choses effrayantes qui risquent de leur arriver", déplore-t-il dans le journal. Indigné, il déclare : "Le risque environnemental est le seul qui a 100 % de chance d'arriver. Et c'est paradoxalement le seul dont Wall Street se fiche !". Jeremy Grantham soutient également de nombreuses start-ups mettant en place des solutions vertes.
Des billets verts pour sauver la planète bleue
Prenant à cœur le sujet de la crise climatique et persuadé de son irréversibilité si elle n’est pas prise à temps, celui qui est habituellement connu pour anticiper les crises financières, va donc consacrer près d’1 milliard de dollars au climat. "C'est impressionnant de voir à quel point les gens ne sont pas effrayés par les choses effrayantes qui risquent de leur arriver", déplore-t-il dans le journal. Indigné, il déclare : "Le risque environnemental est le seul qui a 100 % de chance d'arriver. Et c'est paradoxalement le seul dont Wall Street se fiche !". Jeremy Grantham soutient également de nombreuses start-ups mettant en place des solutions vertes.