Les bienfaits du poisson sur la santé cardiovasculaire
De nouvelles conclusions scientifiques ont confirmé les recommandations de l'American Heart Association. Celles-ci stipulent que consommer du poisson deux fois par semaine améliore la santé cardiovasculaire.
La revue Circulation, de l'American Heart Association, a publié ces nouvelles recommandations déjà évoquées par plusieurs études récentes sur les bienfaits du poisson.
"Des études scientifiques ont établi plus en détails les effets bénéfiques de la consommation de fruits de mer riches en Oméga-3, surtout lorsqu'ils remplacent des aliments moins sains tels que la viande qui concentre des graisses saturées susceptibles de boucher les artères", a expliqué Eric B. Rimm, professeur de nutrition à la Harvard T.H. Chan School of Public Health de Boston.
Consommer du poisson 2 fois par semaine
Après avoir passé en revue de récentes recherches, les experts en nutrition en ont conclu que la consommation d'environ deux portions de 100 grammes de poisson (non frit) par semaine aidait à réduire le risque d'insuffisance cardiaque, de maladie coronarienne, d'arrêt cardio-respiratoire et d'arrêt vasculaire cérébral.
La nouvelle recommandation précise que les acides gras oméga-3 présents dans le saumon, le maquereau, le hareng, la truite d'eau douce, les sardines ou le thon albacore, sont particulièrement bénéfiques.
Des recherches précédentes avaient également suggéré que les oméga-3 pouvaient permettre d'améliorer le quotient intellectuel et le sommeil des enfants, de réduire le risque d'asthme et de doper la santé cérébrale chez les personnes plus âgées.
Bien que de précédentes recommandations émises par l'American Heart Association avaient noté que les compléments d'huile de poisson riches en oméga-3 visant à prévenir les maladies cardiovasculaires n'étaient pas recommandés du fait du manque de preuves scientifiques, de nombreuses études ont montré que ces mêmes compléments permettaient de réduire le risque d'allergies et d'asthme et d'améliorer les symptômes d'ostéoarthrose.
Attention à la présence de mercure dans le poisson
La méta-analyse s'est aussi intéressé à des études ayant trait à la présence de mercure dans le poisson. Bien que la plupart des produits de la mer contiennent du mercure, ce dernier est plus fréquent dans les poissons de grosse taille comme le requin, l'espadon, le maquereau roi, le thon obèse, le marlin et le poisson-montre.
Les scientifiques en ont conclu que même si le mercure pouvait être associé à des troubles neurologiques graves chez les nouveaux-nés, il n'existe pas assez d'études scientifiques concernant les effets de la contamination au mercure sur le risque de maladies cardiovasculaires chez l'adulte.
Les chercheurs ont également souligné que les bienfaits de la consommation de poisson contrebalançait largement les risques émanant du mercure, surtout si l'on consomme différents types de fruits de mer.
Consommer du poisson 2 fois par semaine
Après avoir passé en revue de récentes recherches, les experts en nutrition en ont conclu que la consommation d'environ deux portions de 100 grammes de poisson (non frit) par semaine aidait à réduire le risque d'insuffisance cardiaque, de maladie coronarienne, d'arrêt cardio-respiratoire et d'arrêt vasculaire cérébral.
La nouvelle recommandation précise que les acides gras oméga-3 présents dans le saumon, le maquereau, le hareng, la truite d'eau douce, les sardines ou le thon albacore, sont particulièrement bénéfiques.
Des recherches précédentes avaient également suggéré que les oméga-3 pouvaient permettre d'améliorer le quotient intellectuel et le sommeil des enfants, de réduire le risque d'asthme et de doper la santé cérébrale chez les personnes plus âgées.
Bien que de précédentes recommandations émises par l'American Heart Association avaient noté que les compléments d'huile de poisson riches en oméga-3 visant à prévenir les maladies cardiovasculaires n'étaient pas recommandés du fait du manque de preuves scientifiques, de nombreuses études ont montré que ces mêmes compléments permettaient de réduire le risque d'allergies et d'asthme et d'améliorer les symptômes d'ostéoarthrose.